Coup de gueule !

Suite à une énième censure de mes multiples comptes et de ma page officielle :
"Les persécutions facebookiennes, c'est mon lot quotidien, mais ce n'est rien. Du vent. Du virtuel. Ce qui fait le courage d'un militant politique et métapolitique, c'est son engagement au quotidien, sa persévérance, son attachement à la France éternelle et ses prises de position parfois risquées. Encore aujourd'hui, en formation sécurité, certaines personnes soient plongées dans un gauchisme crasseux soient musulmans de base ou converti, ont visionnées la plupart de mes vidéos, et y ont répondues agressivement. Le formateur en a même eu l'écho. Fin de matinée, certains sont venus me voir pour en parler, mais pas dans une optique de débat. Résultat ; je n'ai pas fermé ma gueule, disant que j'étais dans mon droit de critiquer l'islam, que cette religion était intrinsèquement violente et guerrière, menant dans une suite logique aux terrorismes actuels. Clamant que la France est de nature blanche et catholique, ce qui en a choqué plus d'un.
Beaucoup peuvent me cracher dessus, et ils le font avec joie, même dans nos milieux (ce qui me dégoûte au plus haut point, au passage), mais la moitié auraient baissé la tête devant un groupe de racailleux, et n'auraient pas tenu le quart de mes propos. C'est qu'une anecdote parmi tant d'autres. Tout cela pour dire qu'il est temps que les français souchiens portent leurs couilles sur l'épaule, et les abordent fièrement dans la vie de tout les jours, au travail, en cours, en famille, entre amis, dans la rue, et j'en passe. Ne baissez jamais la tête, quitte à manger des coups. Soyez fier de vous, de ce que vous êtes, de vos idées, de votre blancheur et de votre catholicisme. C'est à vous de vous affirmer. On ne marche pas sur une personne debout, solidement ancré sur ses appuis. La vie est un combat, spirituellement comme physiquement. Courage aux vrais, aux résistants du quotidien, ceux qui savent ce que s'est de s'afficher royalistes, nationalistes, catholiques de tradition, et qui savent que ce n'est pas un délire de gens en manquent de sensations. C'est un combat.
Moi je ne suis rien, ou pas grand chose, au vue de la grandeur de la lutte que nous menons. Que nous DEVONS mener. Je vous tape la bise, la guerre civile n'est pas loin et les tensions augmentent vitesse grand V. Que la paix du Christ vous accompagne. Jimmy."