Les femmes blanches sont les plus belles (par Daniel Conversano)
"Alors que je n’étais pas encore situé sur le plan politique, je trouvais déjà que les femmes blanches étaient les plus belles du monde.
Je n’ai jamais conclu autre chose lorsque j’établissais des comparaisons avec d’autres types de beauté féminine, et ce sentiment continue de se renforcer en moi, à présent que je suis devenu un activiste GAUCHISTOVORE.
Je me faisais cette réflexion en ce matin d’hiver (samedi 6 février 2016), alors qu'une petite étudiante au faciès irlandais, à la chevelure châtaigne et à la peau parsemée de grain de beauté écarlate, attirait mon regard coquin dans le métro. Elle resplendissait dans tout le wagon et je ne comprenais pas qu'un seul homme normalement constitué pût ne pas la regarder avec les yeux du désir, comme j’étais en train de le faire moi-même.En fouillant dans ma mémoire, j’ai essayé de me rappeler si une seule fois dans ma vie, une non-blanche m'avait fait un effet similaire, et je n'ai pas trouvé de souvenir en ce sens.Je ne vais pas vous mentir, j’ai déjà eu des relations sexuelles avec des extra-européennes dans le passé. A chaque fois que ça c’était produit, j'avais ressenti une profonde insatisfaction sur laquelle je n’arrivais pas, alors, à mettre de mots clairs. Avec le recul, je me comprends beaucoup mieux.Au fond, j’ai toujours trouvé incongru de coucher avec une femme à l'apparence diamétralement opposée à la mienne. Incongru est le mot juste. Ce n’était pas dégoutant, ça ne me mettait pas en colère, il n’y avait pas de quoi procéder à un hara-kiri non plus. C’était seulement… vraiment très très bizarre.J’ai ressenti ce malaise avec violence, alors que je vivais une amourette avec une centre-asiatique (Ouzbek par la mère, il me semble) aux yeux légèrement bridés. C’était une nana un peu dérangée et nymphomane, qui voulait toujours se filmer quand on « le faisait », parce qu’elle adorait se revoir ensuite dans les positions les plus spectaculaires (j’avais 20 ans, et j’étais souple. A 29, on préfère largement le confort ordinaire d’un lit, et les positions qui ne vous font pas développer une hernie discale). Jeune et fanfaron, je n'étais pas opposé à l’idée de la sex tape, bien au contraire, j’étais même flatté de sa proposition. J’ignorais à ce moment-là que je serai plus tard un petit personnage public du web, qui n’aurait rien à gagner à ce que chacun voit son corps remuer dans le vagin d’une non-blanche. Pourvu que ça ne ressorte jamais !Bref, en me voyant faire l'amour avec cette femme-là en vidéo, j'avais envie de rire et je me sentais complètement ridicule. C’était comme de voir un requin mâcher un morceau de brocoli. Le manque d’osmose entre elle et moi était total. J’aurais voulu ne jamais voir ces images.Je n’ai de toute manière jamais envisagé d'enfanter avec une femme non-européenne, parce que j’ai toujours désiré,-aussi loin que je m’en souvienne-, avoir des gosses qui me ressembleraient une fois adultes.Et au-delà de cette envie, je trouve intelligent de préférer une fille issue de son groupe ethnique à une fille au phénotype correspondant aux standards humains d’un continent autre que celui d'où on vient.Si je préfère les blanches, c’est que je trouve qu'elles sont les partenaires qui conviennent le mieux à mon physique, à ma mentalité et à mes mœurs, et c'est sans doute pour cela que je les trouve plus belles que les autres.Préférer une femme de sa couleur de peau est une tendance naturelle, saine, et à encourager.Si les gens veulent se métisser de manière individuelle, c'est une chose. Mais qu'on les applaudisse parce qu'ils le font et justement parce qu'ils le font, procède d’une politique orientée qui ne repose sur aucun fondement logique.C'est la même chose pour l'homosexualité.C’est une pratique qui a toujours existé et qui existera toujours.Mais pourquoi en faire la promotion, et revendiquer son statut d’inverti comme s’il s’agissait d’un postulat idéologique à part entière ?Le métissage, la gay pride, l'art contemporain qui écrase de tout son poids les velléités résiduelles de création figurative (peindre un visage, un paysage, et en faire un joli tableau), nous, nationalistes, appelons cela le marxisme culturel, et nous voulons y mettre un terme.
Non pas parce que nous voulons éradiquer l’homosexualité, empêcher les mélanges amoureux par des lois strictes, emprisonner les artistes sans compétences (attendez, pour ce dernier point, en ma qualité d’esthète, j’hésite quand même). Mais parce qu'une société fonctionnelle n’a pas non plus à en faire l’éloge triomphant.Les médias actuels, la publicité et le cinéma finissent toujours par faire penser à la masse que c'est "positif" et "révolutionnaire" de se mettre avec un(e) partenaire de race exotique.Ce n’est ni révolutionnaire ni positif, c'est seulement un choix parmi d’autres.Comme celui de préférer les siens aux étrangers."