Genèse et critique de l'immigration massive

La base de l’immigrationnisme, c’est-à-dire le désir politique de générer une immigration massive, est forte embarrassante. En effet, sa genèse se puise dans une corrélation entre le grand patronat et le monde politico-bancaire. Pourquoi ? Pour des raisons d’ordre purement capitalistes, qui sont les suivants : faire marché la compétitivité d’une manière drastique, exacerbée et inégale, pour ainsi faire pression et déconstruire nos bases sociales traditionnelles. La baisse des salaires français et la dégradation du domaine salariale en sont des graves conséquences réelles. Voilà pour la partie matériélo-économique.
Passons maintenant à la partie culturalo-identitaire. La dilution de notre identité propre (c’est-à-dire de notre race blanche et de notre religion naturelle ; en l’occurrence le catholicisme) est également une conséquence, voir-même un but de l’immigrationnisme (qui n’est qu’un facteur parmi d’autres, je pourrai également citer le laïcisme ou/et la judéïsation de notre société moderne). Logique schématique des plus simpliste, il est aisé de comprendre que l’arrivé des arabo-musulmans, s’obligeant un prosélytisme forcené de part leur contrainte religieuse, influe directement sur l’identité générale de notre pays et de ses habitants. Exemple attristant mais concret : les Eglises sont détruites ou laisser à l’abandon et les mosquées subventionnées fleurissent sur notre territoire pourtant chrétien de base, mais annihilé dans sa nature religieuse par la judéo-maçonnerie, depuis la révolution anti-française de 1789.
Et si l’on est atteint de complotisme aiguë, donc ayant un cerveau gravement malade, nous pouvons penser que l’immigration massive, voulue par nos élites, pouvant entraîner de vives tensions, pouvant aller jusqu’à la guerre civile, et permettant donc l’instauration d’un état totalitaire. Mais pour éviter de choquer mon auditoire, je ne m’étayerai pas ici dans mon propos.
Je terminerai par une simple métaphore. L'immigration massive favorisée par la quasi-inexistence des frontières, à l'échelle d'une société, c'est un peu comme la parabole de la maison ouverte. Je m'explique : une famille vit dans une maison, un père, une mère et un enfant. Ils ont malheureusement du mal à payer leur factures et doivent se contenter d'un seul petit repas par jour, ce qui est moribond pour eux, in fine. Quand tout à coup, des gens complètement étrangers à cette famille débarquent, environs 5 personnes, et demandent à être logés chez vous, et nourrit chaque jour. Par pure idéologie et charité, la famille a très envie de les recevoir. Mais malheureusement, face à la réalité difficile du quotidien, elle ne peut pas. Elle est obligée de fermer ses portes pour voir survivre sa famille. Ce n'est égoïste, c'est logique, et cela s'appel l'instinct de survie. Hé bien, c'est exactement pareil au sein de notre société, qui est l'extension sociale du cercle familiale. Si nous avons du mal à nourrir et à loger nos propres citoyens, qu'aurons-nous à proposer aux centaines de milliers (voir aux millions) d'immigrés voulant trouver le paradis ici ? C'est une position hypocrite, et c'est là que mon propos fait sens lorsque je parlais de "hors réalité".