Soyons des hommes !

On me reproche souvent de ne m'en prendre qu'aux femmes dans mes statuts psycho-sociologiques. Faut dire qu'il y a de quoi, entre la féministe hystérique, la mère irresponsable, la femme qui néglige le foyer, la conjointe malhonnête, la libertaire décomplexée (dite "grosse salope" à juste titre), la gauchiste incohérente, etc. Mais cela ne signifie pas que les hommes sont irréprochables. Ce serait un grossier raccourci. Je vais développer ce point dans cet article.
Je pense que si nos femmes occidentales partent tant en couille, c'est principalement et avant tout de la faute des hommes. Il s'agit d'une faute collective et historique, plus que de fautes individuelles. En bon idéaliste pragmatique, je vais commencer le raisonnement par le haut :
1) La femme c'est la vitalité, l'homme c'est le cadre. Si tous les hommes étaient des hommes, nos femmes ne se permettraient pas de mal se comporter, car elles se feraient remettre à leur place instantanément, et elles auraient peur de nous perdre. À moins de vouloir finir seules ou avec une baltringue, elles n'auraient d'autres choix que de se remettre en cause. Nos hommes n'encourageraient pas leurs dérives en jouant les petits toutous qui acceptent tous les caprices de bobonne. Vous seriez surpris du nombre de femmes qui m'ont dit "Je veux un homme qui sache me remettre en place", ou même "N'hésite pas, remets-moi en place si je dépasse les bornes". T'inquiète pas, va.
2) Les femmes c'est la vie du foyer, les hommes c'est la protection du foyer. Dans le milieu natio, on est nombreux à vouloir une femme à l'ancienne, c'est-à-dire : pudique, joviale, généreuse, bonne cuisinière, ménagère, non-carriériste, désireuse d'avoir et de s'occuper de ses enfants, etc. Mais combien se soucient d'être des hommes à l'ancienne ? C'est-à-dire virils, courageux, sachant se battre, sachant penser, travailler et endurer, sachant soutenir et rassurer, sachant anticiper et protéger, être ambitieux etc. Personnellement, c'est là un travail que je fais sur moi depuis des années. Voilà pourquoi je m'estime en droit de porter la critique aux femmes. Ce n'est que lorsque vous possédez ces qualités-là, en tant qu'hommes, que vous êtes légitimes à exiger le meilleur d'une femme et à ne pas vous contenter de moins. Car vous avez exigé le meilleur de vous-même.
3) La femme enfante, mais l'homme assume. Je souhaite un châtiment douloureux aux femmes qui avortent, du moins une repentance profonde et sincère. Mais il ne faudra pas oublier de pendre par les couilles les petits fils de putain qui engrossent leur femme avant de la sommer d'avorter, ou avant de déguerpir comme des gros lâches. Je les méprise bien plus que les femmes qui avortent par désespoir, et autant que celles qui avortent par confort. Encore une fois, pour tous les hommes qui souhaitent taper sur l'avortement, soyez ce que vous prônez et assurez-vous d'être prêts à tout sacrifier le jour où vous aurez à préserver la vie qui est sortie du fond de vos couilles. Pour reprendre mon cas personnel, Dieu m'a mis à l'épreuve par deux fois. Et je ne me suis jamais débiné, bien qu'il ait finalement s'agit de fausses alertes. Quitte à être un père célibataire. Mon confort n'a aucune valeur au regard de la vie. Voilà encore une fois d'où je tire la légitimité de mes coups de gueule.
Bref les mecs, on peut en mettre plein la gueule aux femmes. Une bonne et saine misogynie n'a jamais dérangé que les pétasses frustrées et hystériques. Mais il faut assurer derrière. Il faut ASSURER. Sinon tout ce qu'on dit résonne à peu près comme un tambour, ou comme le crâne d'une féministe, c'est-à-dire : creux.
Olivier S.