Une foule réagit comme une femme ; la femme réagit comme une foule

La femme est et réagit comme la foule, la masse. Elle n'a pas la nature de leader, elle est intrinsèquement suiveuse, consciemment ou inconsciemment. Pour la convaincre d'une chose, un long texte argumenté ne vaut pas le coup. Mettez une image forte, sensationnelle, faisant fi de l'intellect et faisant réagir ses sentiments profonds, et vous l'avez de votre côté.
Elle est aussi de nature à faire confiance à la hiérarchie, c'est sa féminité fondamentale qui ressort, la plaçant dans une certaine soumission aveugle face au(x) dominant(s) (ce qui n'est ni bon ni mauvais en soi, le problème se place plutôt au niveau de la nature de cette hiérarchie) Au sein de l'éducation nationale, outre le mimétisme improductif, la récitation de travaux apprit par coeur, elles boivent les paroles du maître sans esprit critique. L'idéologie dominante est ainsi subtilement imposée à la gente féminine, et la femme l'inculque à l'homme comme elle l'inculquerait à son propre enfant (étant donné que l'homme viril, le chef de la famille, n'existe plus). Les femmes ne sont pas dans la production intellectuelle.
C'est aussi pour cela que leur esprit d'insoumission et de critique est beaucoup moins développé que chez l'homme. Parlons de la cuisine, où justement les plus grands chefs sont tous masculins. Remarque pertinente, et explicable rationnellement. La cuisine basique, c'est souvent de la reproduction, le fait de suivre de A à Z une recette élaborée par autrui. A très haut niveau, cela diffère totalement, ça devient un art créatif, très intellectuel, voilà pour cet univers sélectif et élitiste n'est peuplé quasiment que d'hommes. Au niveau de l'art musical, surtout du classique, c'est pareil. Au niveau politique, également. La femme n'est pas destinée à tout cela, et elle ne fait que de blesser la nature profonde en cherchant l'égalitarisme à tout prix, au prix de son bonheur, au prix de ses déterminismes, au prix de sa féminité.
Pour clôturer ce petit texte, je pointerais tout de même du doigt le niveau général de l'homme, qui est à peu près au niveau d'un ver de terre. Je peux comprendre la féministe qui se dit "je suis plus intelligente que la moyenne masculine, toutes ces théories machistes ne tiennent pas la route face au réel". Sauf qu'elle oublie un point essentiel, c'est la féminisation massive de l'homme. L'homme n'est plus dans l'intellect, il réagit par son affectif ce qui en fait une fiotte. Il n'est plus dans la compétition virile, il est dans une spiritualité new-âge qui lui évite ce genre de schématique, et qui en fait une fiotte. Il n'est plus dans l'affrontement argumentaire et physique, il est dans le repli sur soi, ce qui en fait une fiotte. Je vomis donc autant (si ce n'est plus) l'homme moderne que la féministe enragée.