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L'homme enraciné

Nous sommes le camp du Bien. En ce sens, préférons la positivité plutôt que le négation. Il ne faut guère être dans la détestation d'autrui, mais dans l'amour des siens. Il ne faut point pousser à haïr l'immigration de masse, mais motiver son peuple à s'aimer en tant que tel, à s'aimer soi-même, à aimer sa famille, ses proches, sa race, sa terre, son pays, et in fine, Dieu.

De facto, nous préservons ce que nous aimons. C'est une loi naturelle. L'amour véritable fait grandir les Hommes. Et tout comme une graine dans le monde végétal, un homme dans la société a besoin de s'enraciner pour croître et s'accomplir. Si l'homme n'est rattaché à rien, si il est une sorte d'hybride poussant hors-sol, il n'opposera aucune résistance face au moindre danger, à la moindre manipulation. Il sera une pâte à modeler, qui entre de mauvaises mains, peut devenir la pire des créatures. Un arbre déraciné finira très vite par pourrir. Il en est de même pour l'homme.

Les lois de la nature sont universelles et aucune créature ne peut s'y extraire. On ne demande pas à la poule de cohabiter avec le renard, et on oblige pas le grizzli à venir se loger au Gabon. Ainsi, et nous parlons bien évidemment en généralité, l'homme blanc enraciné en Europe à vocation à y rester, tout comme l'homme noir en Afrique ou encore l'homme jaune en Asie.

Voilà une des raisons qui fonde mon soutien au concept de "remigration", voir de "rapatriement international", théorisé par Marcus Garvey, le père du panafricanisme. Comme le dit la Sainte Bible : "que chacun retourne sous sa propre vigne et sous son propre figuier."

En préservant, par amour et par fierté, notre culture, nous sommes dans l'exemplarité, et nous poussons les autres à faire de même.


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