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Femme, séduction, grosse couille sur la table

La séduction est effectivement un marché. Il y a des offres et des demandes coté homme et coté femme, et il y a des négociations. Celui qui présente le plus de rareté gagne les négociations. Le principe est éternel et aussi simple que ça.

Dans une société traditionnelle, les mariages restent globalement circonscrits à une même échelle sociale, le patriarcat des pauvres tend à refréner l'hypergamie des femmes, et la morale chrétienne leur permet d'être heureuses quand même. Il y a donc globalement pour une même échelle sociale autant d'hommes que de femmes.

Personne n'est plus rare que l'autre, et les négociations sont équitables. À l'époque, tout le monde se trouvait une femme à peu près convenable, même le petit fermier.

Le gauchisme l'ayant emporté sur le patriarcat, la tradition et la religion, c'est maintenant différent. N'importe quelle femme pauvre et belle peut séduire n'importe quel homme riche et moche, et finir sa vie dans son appartement de bourgeois parisien en gagnant 10000€ par mois en tant que mannequin. Il n'y a plus aucun frein à l'hypergamie. Les femmes ne disent plus non, leur père non plus. Le rang social étant un facteur surdéterminant le niveau d'intérêt de la femme, on se retrouve donc en distribution de Pareto :

→ 80% des femmes (les belles et les moyennes) convoitant 20% des hommes (les riches), ce qui nous donne en négatif :

→ 80% des hommes (les normaux, les modestes et les pauvres) se partageant 20% des femmes (les moches).

La rareté ne se limite plus à la beauté, elle comprend désormais pour 80% des hommes la femme elle-même. Sa simple existence à son échelle social est devenue rare. Loi du commerce oblige, les femmes gagnent quasiment toutes les négociations. Elles peuvent se comporter comme des merdes, ne plus faire la cuisine, ne plus prendre soin de leur corps, et l'homme ne peut même plus leur en tenir rigueur. Il n'a plus la valeur ajoutée nécessaire pour faire contre-poids aux efforts que cela demanderait à la femme de changer.

La femme moderne est de plus en plus laide, arrogante, méprisante et exigeante. Et elle exige sans forfait. "Il doit me faire rire, il doit être beau, il doit savoir s'y prendre, il doit faire plus d'1m90, il doit gagner plus de 2000€, etc. etc."

Voilà la cause réelle de la misogynie. Elle vient de cette impression de se faire entuber sur le marché de la séduction, de ce sentiment de devoir claquer 200000€ pour une twingo d'occasion chez le ferrailleur. Notre valeur n'est pas récompensée par une valeur équivalente en retour, parce que les négociations ne sont plus équitables.

Alors je dis ceci aux hommes : Aimez les femmes pour ce qu'elles sont (c'est-à-dire ni des mères ni des saintes, ce qui est pareil) mais ne faites aucune concession sur ce que vous méritez réellement. Aucune. J'insiste bien là-dessus. Ne vous bradez en aucun cas. Rien à foutre du marché actuel, vous préférez être seul. Il viendra un temps de chaos où vous dominerez le marché de la séduction précisément parce que vous aurez toujours eu cette mentalité. En même temps que vous êtes exigeants avec vous-même (c'est tout aussi important que d'exiger des autres et c'est ce que les femmes globalement ne font plus), commencez à exiger des femmes dès maintenant. Si elle manque de respect, elle part. Si elle pue de la gueule, elle se brosse les dents. Si elle ressemble à rien, elle va s'acheter une tenue. Si elle ne sait pas cuisiner, elle apprend. Si elle est obèse, elle maigrit. Et si elle trouve tout ça injuste et insurmontable, elle est disqualifiée.

Y'a que ça pour rétablir à terme un patriarcat sain, wallah le coran.

Pour compléter : La fin du patriarcat, qui a accompagnée cette destruction plus globale de tout ce qui était hiérarchiquement organisé, a détruit le frein qu'avaient les femmes à ne mouiller que sur des hommes riches, et le frein qu'avaient les hommes à ne bander que sur des pures bombasses. Et comme on pense que tout nous est accessible, on est vite déçu par la réalité : L'homme moyen ne se retrouve vite qu'avec des moches, et la bombasse se retrouve vite trompée par le riche qu'elle fréquentait, voire larguée avec trois gamins à gérer seule. La hiérarchie hermétique traditionnelle était le verrou qui empêchait ce foutoir. Deux conséquences immédiates : Une très grande partie des hommes se retrouvent hors-course de par leur revenu et statut insuffisant, et on observe chez les femmes deux types de réactions : - Un laisser-aller lamentable du physique pour celles qui se résignent à taper dans les 80% de pauvres.

- Une aspiration hystérique à avoir le corps de Nabilapute, pour celles qui visent les 20% d'hommes à statut social élevé. Ce qui nous donne cette file de dindons qui s'entassent dans les salles de sport pour avoir un corps sur mesure.


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