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Nous sommes, nous existons, nous résistons, nous créons

Nous sommes durs, oui. Durs dans l'amour, fidèles à nos principes et fiers de nos traditions, voilà pourquoi nous nous refusons à suivre le courant tel des poissons morts, plongeants tous dans ce fleuve progressiste fait de toxicité et d'agitation. Une agitation généralisée, constante, du bruits, du spectacle, rien ne laissant place au calme, a l'élévation de l'esprit ou à la douceur de l'âme. Il n'y a, dans le règne de la matérialité, que de la matière, de la matière et encore de la matière, à profusion et d'une lourdeur incomparable.

Tandis que nous, la conscience éveillée face aux milles dangers se présentant à nos portes, une grande responsabilité nous incombe. Une toute aussi grande tristesse se drape sur nos épaules, mais cette profonde amertume, par un processus de changement, peut se transformer en rage, une force nous aidant dans cette lutte quotidienne contre l'Empire, cet Empire apatride, mercantile et mondialiste, une machine froide et livide, un monstre affamée dévorant l'âme des pays pour tout recracher en or, une pieuvre aux nombreuses tentacules idéologiques, se rejoignant toutes dans la haine du beau et du bien. Nous, nous sommes, selon eux, les passéistes, les nostalgiques, les rétrogrades, car nous voulons revenir à nous-mêmes, incarner à nouveau la France, la vraie, ce pays à l'histoire si belle et si complexe, nous voulons redevenir français. Et ce crime, pour nos citoyens sans Citée, est impardonnable.

Nous sommes radicaux car l'époque est radicale. Nous sommes dans l'extrémisme, car extrêmement opposé à la décadence actuelle érigée en norme par nos sociétés contemporaines. Nous sommes radical car nous avons conscience de nos racines, nous les respectons et les protégeons. Nous sommes rétrogrades car le progressisme subvertit la moralité chrétienne traditionnelle. Nous sommes réactionnaires car vivants, vivants car nous réagissons. Nous sommes des conservateurs de droite dure, car nous luttons pour la préservation de la faune et de la flore. Nous sommes taxé de fascisme, car nous aimons l'ordre et l'organisation, sans quoi rien de stable ne serait. Taxé de racisme car nous refusons de voir mourir notre peuple et sa culture. Taxé de totalitarisme, alors que le système actuel se sert de la bien-pensance pour nous museler, nous faire taire, nous intimer et parfois même nous emmener en prison pour de simples idées.

Alors oui, nous sommes leur bête noire, le bug dans leur installation, le grain de sable dans leur matrice. Mais nous ne résistons pas pour résister au mal, nous résistons pour faire le bien. Nous ne voulons pas détruire pour que le pays tombe en ruine, nous voulons détruire leur monde superficiel et superposé au notre, pour la création d'une société plus juste, plus belle, plus morale, plus sereine, loin de leur conception bisounoursienne du monde environnant, nous menant soit au suicide soit aux conflits graves, dans tout les cas continuer sur ce chemin nous mènera à une mort certaine. Et pas la mort de quelques individus isolés, mais la mort d'une civilisation majeure dans l'histoire de l'humanité.

Beaucoup prétendent sauver des espèces animales, ou du moins se soucier de leur possible disparition, mais la race des humains enracinés est elle, dans le plus grand danger, et la majorité des gens soient s'en contre fiche, soient ,plus sournoisement, s'en réjouissent. Mais nous aurons la victoire, car la nature reprend toujours ses droits, et le bien fini toujours par triompher.


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